La Cie Bruno Verdi et les 700 ans de la Confédération Suisse

Dans le cadre des festivités des 700 ans de la Confédération suisse en 1991, l’Etat du Valais a mandaté à la direction générale et artistique à Bruno Verdi.

Il assuma la fin de chantier du patrimoine historique et de l’Inauguration de l’Amphithéâtre romain du IIe siècle. Projet national de grande envergure et l’un des trois plus grand spectacle de toute la Suisse, Bruno Verdi s’est attelé à la tâche dès 1989, afin de proposer une version grandiose du célèbre «Nicolas de Flüe» de Arthur Honegger célèbre et les 30 tableaux du livret de Denis de Rougemont

Œuvre symbolique de la pure tradition suisse, son concepteur a réuni les chœurs de la région, l’Orchestre ORM de Lausanne, des centaines de figurants, plus de 60 costumières pour réaliser plus de 400 costumes avec l’appui de tous les services de la Ville de Martigny, soit 320 personnes sur scène et plus de 500 personnes en production.

Un succès confirmé par la présence de plus de 3’000 personnes chaque soir, pour un total de 15’000 personnes en 5 soirs. Bruno Verdi curateur a également offert une belle exposition à la Fondation Louis Moret, « Histoire d’un spectacle ».

« Sursum corda ! – Quel enchantement ! »

« Aux nombreux artisans de tant de splendeur, chapeau !  « …par la magie de ce splendide oratorio, auquel s’est ajouté une chorégraphie originale et fort remarquée de Bruno Verdi.»

« Une fresque éblouissante… Et là quelle fête ! »

« Cette pièce lyrique, présentée à Martigny en version inédite, imprégnée de fraîcheur populaire et cependant dépouillée, d’un haut niveau, tant sur le plan musical que sur celui de la chorégraphie, envoûte véritablement le public, traduit avec force son monde intérieur, le monde de l’âme, ses joies et ses souffrances.

…Et quelle bonne assurance, quelle pureté dans le geste du danseur et la diction du récitant! Un véritable enchantement que cette version valaisanne de « Nicolas de Flue » une féerie de rythmes, d’accords et de lumière, de solennels mouvements d’ensemble exaltant la grandeur tranquille la paix rayonnante de l’ermite. Un spectacle qui vous pétrit d’émotion. » « … Sans relâche, il vous transporte, jusqu’à  cet hymne de louange, ce final grandiose, entraînant tout l’orchestre et l’ensemble des chœurs en une gerbe scintillante et pathétique. »

« … Une mention bien méritée aussi pour Verdi (Bruno, l’arrière petit neveu), créateur du décor de l’émouvante chorégraphie, vrai cantique à la beauté, et aussi aux nombreux collaborateurs bénévoles qui ont œuvrée pour la création, par centaines d’authentiques costumes renaissance, même de restituer cette chaleureuse atmosphère, tout imprégnée encore de la splendeur monacale, sans oublier, bien sûr, les acteurs dont il faut relever, à la fois, la conviction, l’enthousiasme et la tranquille aisance. »

Nouvelliste | 15 Juin 1991 Critique de Jean-Marie Carron | Amphithéâtre Romain du IIe siècle
Nicolas de Flue | Directeur général et artistique Bruno Verdi

Prix Internationaux de la Cie Bruno Verdi 

La Cie Bruno Verdi et les Concours Cantonaux