La Cie Bruno Verdi & l'oeuvre AIDA 2000

Création | 1987 1988

Prix spécial de chorégraphie | Primero Vignale Danza Turin Italie | 1988

Prix spécial d’innovation pour le MONOLTIH Salon de l’Innovation et de la Création Parc Floral à Paris | 1990


Manifestation | Première mondiale de l’invention du MONOLITH – Création annuelle

Lieu | Tournée nationale suisse et internationale

Chorégraphie et performance  interactive musicale live | Bruno Verdi

Interprètes | Nathalie Zufferey (danseuse), Géraldine Lonfat (danseuse), Bruno Verdi (danseur)

Musiques | Musique live avec le Monolith, Aida de G. Verdi, Karftwerk, André Pignat

Invention musicale majeure du Monolith | Pierre Cathala, Bruno verdi

Création du Monolith | Michel Chavaria et Bruno Verdi

Régie technique du Monolith | Danièle Verdi

Costume | Sabine Donnet

Masque | Moreno Ferracini

Décor et fond de scène en mur structuré et plastique | Bruno Verdi, M. Hichier

Eclairage | Charles-Henri Boichat

Régie technique | Danièle Verdi

Photographie | Jürg Donatsch

Publicité et programme | Danièle  Verdi, Bruno Verdi

Imprimerie | Gessler SA

Administration et production | Danièle Verdi

« La Machine à Danser – idole de l’électronique asservie par la Compagnie Bruno Verdi »

L´Express | 31 octobre 1988 Critique de L.A. – Théâtre de Neuchâtel

« Le danseur orchestre – Avec la création de sa pièce Aida 2000, durant le week-end, au Théâtre de Beausobre, la Compagnie Bruno Verdi jetait les bases d’une nouvelle approche chorégraphique où la gestuelle du danseur sculpte une image sonore qui devient partie intégrante de son jeu.)

« …  Le rendez-vous de vendredi nous réservait une surprise de taille, un nouveau jalon sur la piste

encore mal tracée de l’histoire de la danse en devenir: les premiers balbutiements du «danseur orchestre ». Bruno Verdi utilise l’informatique depuis déjà quelques années à des fins administratives. Aida 2000 est, toutefois, la première piècee où il intègre l’informatique dans le processus de création et de sa «performance». »

La Gazette de Lausanne | 18 octobre 1988 Critique de Patrice Lefrançois – Théâtre BEAUSOBRE